• 11/6/25 : Librairie à soi.e, Lyon - 19h15 - Rencontre autour du Rêve d'un langage commun d'Adrienne Rich, avec Lénaïg Cariou, co-traductrice, et Claire Stavaux, éditrice. - En savoir plus.
  • 18/6/25 au 22/6/25 : Marché de la Poésie, Paris - L'Arche sera présente place Saint-Sulpice pendant tout le Marché, en compagnie d'Ypsilon éditeur et du Chemin de fer. - En savoir plus.
  • 9/7/25 : Maison Jean Vilar, Avignon - 12h - Rencontre avec Lukas Bärfuss à l'occasion de la parution de son nouveau recueil Malaga / Séduction.
  • 16/7/25 : Théâtre Transversal, Avignon - 18h - Kae Tempest & Stefano Massini, le récit-poème pour raconter un monde qui brûle, par Claire Stavaux. Performances de Joelle Sambi & Florian Sitbon !
  • 19/7/25 : Maison Jean Vilar, Avignon - 12h - Rencontre avec Milo Rau autour de sa pièce La Lettre et de son livre Vers un réalisme global.
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Pièces en dix minutes

Seule, lucide et sans argent, Djuna Barnes est morte loin de ses extravagances parisiennes, dans un appartement new-yorkais. Les Pièces en dix minutes reflètent et anticipent cette existence solitaire. Elles ont été écrites pour des magazines comme Vanity Fair ou Shadowland dans les années vingt, et certaines ont été représentées par une troupe bohémienne qui devint fameuse : les « Princetown Players » de Greenwich Village.

Chacune des pièces de cet album possède sa lumière propre, son atmosphère. Dans un boudoir neigeux, la glaciale Lady Fiora Silvertree vit chaste et solitaire. Sur fond de lacs italiens, à l’heure du thé, la comtesse Nicoletti Lupa converse avec sa jeune rivale. Sur la plage d’une île tropicale, dans le Pacifique Sud, se retrouve un couple qu’un naufrage a séparé.

Structure éclatée donc, mais unité profonde. Les héroïnes de Djuna Barnes ne sont en fait qu’une seule et même femme. Hautaines, ironiques, elles refusent toutes l’ordinaire.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Petites Gouttes de pluie, in Pièces en dix minutes (Little Drops of rain, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Deux Dames prennent le thé, in Pièces en dix minutes (Two Ladies drink Tea, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Elle dit à sa fille, in Pièces en dix minutes (She tells her daughter, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • A des milliers de kilomètres, in Pièces en dix minutes (Five thousand miles, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Trois de la terre, in Pièces en dix minutes (Three from the Earth, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Un Triangle irlandais, in Pièces en dix minutes (An Irish Triangle, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Madame se reprend, in Pièces en dix minutes (Madame collects herself, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Sorbet, in Pièces en dix minutes (Water ice, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Colombe, in Pièces en dix minutes (The Dove, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Beauté au singulier, in Pièces en dix minutes (The Beauty, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Une Passion aveugle, in Pièces en dix minutes (Passion Play, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Crépuscule des chiens, in Pièces en dix minutes (To the dogs, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)

Seule, lucide et sans argent, Djuna Barnes est morte loin de ses extravagances parisiennes, dans un appartement new-yorkais. Les Pièces en dix minutes reflètent et anticipent cette existence solitaire. Elles ont été écrites pour des magazines comme Vanity Fair ou Shadowland dans les années vingt, et certaines ont été représentées par une troupe bohémienne qui devint fameuse : les « Princetown Players » de Greenwich Village.

Chacune des pièces de cet album possède sa lumière propre, son atmosphère. Dans un boudoir neigeux, la glaciale Lady Fiora Silvertree vit chaste et solitaire. Sur fond de lacs italiens, à l’heure du thé, la comtesse Nicoletti Lupa converse avec sa jeune rivale. Sur la plage d’une île tropicale, dans le Pacifique Sud, se retrouve un couple qu’un naufrage a séparé.

Structure éclatée donc, mais unité profonde. Les héroïnes de Djuna Barnes ne sont en fait qu’une seule et même femme. Hautaines, ironiques, elles refusent toutes l’ordinaire.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Petites Gouttes de pluie, in Pièces en dix minutes (Little Drops of rain, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Deux Dames prennent le thé, in Pièces en dix minutes (Two Ladies drink Tea, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Elle dit à sa fille, in Pièces en dix minutes (She tells her daughter, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • A des milliers de kilomètres, in Pièces en dix minutes (Five thousand miles, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Trois de la terre, in Pièces en dix minutes (Three from the Earth, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Un Triangle irlandais, in Pièces en dix minutes (An Irish Triangle, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Madame se reprend, in Pièces en dix minutes (Madame collects herself, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Sorbet, in Pièces en dix minutes (Water ice, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Colombe, in Pièces en dix minutes (The Dove, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Beauté au singulier, in Pièces en dix minutes (The Beauty, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Une Passion aveugle, in Pièces en dix minutes (Passion Play, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Crépuscule des chiens, in Pièces en dix minutes (To the dogs, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)