• 09/09/24 : Maison de la poésie, Paris - 20h - Nicolas Maury lit 4:48 Psychose de Sarah Kane, dans la nouvelle traduction de Vanasay Khamphommala tout juste parue. - Réservation obligatoire.
  • 18/09/24 : Librairie L'Atelier, Paris - Lancement exceptionnel du livre Pocahontas au pays des merveilles de Klaus Theweleit, en présence de l'auteur et de son traducteur Christophe Lucchese !
  • 19/09/24 : Goethe Institut, Paris - 19h - Rencontre croisée entre Klaus Theweleit et Georges Arthur Goldschmidt, à l'occasion de la sortie de Pocahontas au pays des merveilles. - Entrée libre !
  • 20/09/24 au 22/9/24 : Halles de Schaerbeek, Bruxelles - L'Arche sera présente au Poetik Bazar pendant tout le weekend ! - En savoir plus
  • 21/9/24 : Librairie Météores, Bruxelles - Rencontre avec Klaus Theweleit à l'occasion de la parution de son livre Pocahontas au pays des merveilles.
  • 19/10/24 au 20/10/24 : La Bellevilloise, Paris - L'Arche sera présente au salon Raccord(s) tout le weekend ! - En savoir plus
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Lear / La Mer

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)