• 17/04/24 au 19/4/24 : Genève, Vevey et La-Chaux-de-Fonds - Tournée suisse avec Alexandre Pateau, traducteur, et Vincent Leterme, chef de chant à la Comédie-Française, autour de L'opéra de quat'sous de Bertolt Brecht.
  • 17/04/24 : Lille, librairie L'Affranchie - 19h - Rencontre avec Joëlle Sambi pour la sortie de livre et vos corps seront caillasses dans le cadre du Printemps des poétexsses. - En savoir plus
  • 25/04/23 : Lafayette Anticipations, Paris - 19h - Lancement de la nouvelle traduction de 4:48 Psychose de Sarah Kane par Vanasay Khamphommala, avec une lecture par Guslagie Malanda et une discussion entre la traductrice et l'éditrice du texte. - Gratuit sur réservation !
  • 03/05/24 : Librairie À la marge, Montreuil - Soirée de poésie queer avec Joëlle Sambi, Aurélie Olivier, Rim Battal, et bien d'autres !
  • 02/06/24 : La Villette, Paris - Rencontre croisée avec Joëlle Sambi, Victor Malzac et Rim Battal dans le cadre du festival Mot pour mots. - En savoir plus
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Lear / La Mer

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)