• 05/09/25 au 7/9/25 : Halle des Blancs-Manteaux, Paris 4e - L'Arche sera présente au salon Lisons libres organisé par l'association de l'édition indépendante en Île-de-France tout le weekend ! - En savoir plus
  • 19/9/25 au 21/9/25 : Halles de Schaerbeek, Bruxelles - L'Arche sera présente au Poetik Bazar tout le weekend ! - En savoir plus
  • 19/9/25 : Halles de Schaerbeek, Bruxelles - 20h - Soirée d'ouverture du Poetik Bazar, avec Joëlle Sambi, Babs Gons, Laura Tinard, Luz Volckmann, Raïssa Yowali, Seynabou Sonko ! - Réservation obligatoire,
  • 19/9/25 au 21/9/25 : Halles de Schaerbeek, Bruxelles - Shira Abramovich et Lénaïg Cariou, co-traductrices du Rêve d'un langage commun d'Adrienne Rich, donneront un atelier "Queering Translation" le vendredi 19 et une conférence "Traduire à plusieurs mains" le dilmanche 21. - Gratuit sur rés
  • 4/10/25 : Librairie du Plateau, Chevilly-Larue - 18h - Rencontre croisée avec Jessica Biermann Grunstein et Nassera Tamer autour de leurs livres Nos territoires et Allô la Place.
  • 8/10/25 au 11/10/25 : Automne en librairies 2025 - L'Arche est à l'honneur du 8 au 11 octobre avec les Libraires du Sud ! Retrouvez Jessica Biermann Grunstein, Rébecca Chaillon, Sonia Chiambretto et Fabrice Melquiot en tournée à Avignon, Marseille, La Seyne-sur-Mer et bien d'autres villes. - Plus d'informations ici !
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Lear / La Mer

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)