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Les films libèrent la tête

Que Fassbinder réfléchisse sur son propre travail ou parle de collègues comme Godard ou Sirk, qu'il fasse le portrait de Hanna Schygulla, la comédienne qu'il a découverte, ou qu'il prenne fait et cause avec véhémence pour le film politique, jamais il ne se dissimule derrière des opinions confortables, préconçues, il prend toujours position radicalement et subjectivement.

Dans l'essai sur Döblin, il a formulé une exigence, sa revendication envers l'art : que le lecteur, le spectateur soit contraint d'analyser sa propre réalité.

Que Fassbinder réfléchisse sur son propre travail ou parle de collègues comme Godard ou Sirk, qu'il fasse le portrait de Hanna Schygulla, la comédienne qu'il a découverte, ou qu'il prenne fait et cause avec véhémence pour le film politique, jamais il ne se dissimule derrière des opinions confortables, préconçues, il prend toujours position radicalement et subjectivement.

Dans l'essai sur Döblin, il a formulé une exigence, sa revendication envers l'art : que le lecteur, le spectateur soit contraint d'analyser sa propre réalité.