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Entretiens avec Krista Fleischmann

Trois longs entretiens, à Majorque, à Madrid et à Vienne, durant les années quatre-vingt. Bernhard n’accordait d’interview qu’à ceux qui lui semblaient « supportables ». Krista Fleischmann, journaliste autrichienne, était son interlocutrice préférée, à la fois confidente et porte-parole.

Ironique ou sérieux, aimable ou sarcastique, calme ou véhément, Bernhard, acrobate de la pensée, critique, analyse, mais surtout philosophe sur le monde et sa vie personnelle, son œuvre et sa manière d’écrire. Il dévoile les difficultés de son enfance, les problèmes de sa maladie, presque avec légèreté. Le charme de sa personnalité, confirmé par tous ceux qui ont eu la chance de le rencontrer, est toujours présent.

Dans la grande tradition des philosophes pessimistes, son regard acerbe et vindicatif est absolu : il ne peut changer ni la société ni la vie, mais les dissèque et les désigne comme d’énormes bouffonneries.

Trois longs entretiens, à Majorque, à Madrid et à Vienne, durant les années quatre-vingt. Bernhard n’accordait d’interview qu’à ceux qui lui semblaient « supportables ». Krista Fleischmann, journaliste autrichienne, était son interlocutrice préférée, à la fois confidente et porte-parole.

Ironique ou sérieux, aimable ou sarcastique, calme ou véhément, Bernhard, acrobate de la pensée, critique, analyse, mais surtout philosophe sur le monde et sa vie personnelle, son œuvre et sa manière d’écrire. Il dévoile les difficultés de son enfance, les problèmes de sa maladie, presque avec légèreté. Le charme de sa personnalité, confirmé par tous ceux qui ont eu la chance de le rencontrer, est toujours présent.

Dans la grande tradition des philosophes pessimistes, son regard acerbe et vindicatif est absolu : il ne peut changer ni la société ni la vie, mais les dissèque et les désigne comme d’énormes bouffonneries.