• 16/5/25 : Médiathèque Elsa Triolet, Bobigny - 18h30 - Lecture musicale de Nos territoires de Jessica Biermann Grunstein, avec Madalina Constantin, comédienne, et Julien Jugand, musicien, dans le cadre de la Semaine des langues de Bobigny. - Entrée libre !
  • 21/5/25 : Librairie du Plateau, Chevilly-Larue - 10h - Rencontre avec Jessica Biermann Grunstein autour de Nos territoires, avec des élèves du lycée Pauline-Rolland. - En savoir plus
  • 24/5/25 au 25/5/25 : La Parole errante, Montreuil - L'Arche sera présente au SLAP, salon d'édition queer et féministe, tout le weekend.
  • 11/6/25 : Librairie à soi.e, Lyon - 19h15 - Rencontre autour du Rêve d'un langage commun d'Adrienne Rich, avec Lénaïg Cariou, co-traductrice, et Claire Stavaux, éditrice. - En savoir plus.
  • 18/6/25 au 22/6/25 : Marché de la Poésie, Paris - L'Arche sera présente place Saint-Sulpice pendant tout le Marché, en compagnie d'Ypsilon éditeur et du Chemin de fer. - En savoir plus.
  • 9/7/25 : Maison Jean Vilar, Avignon - 12h - Rencontre avec Lukas Bärfuss à l'occasion de la parution de son nouveau recueil Malaga / Séduction.
  • 16/7/25 : Théâtre Transversal, Avignon - 18h - Kae Tempest & Stefano Massini, le récit-poème pour raconter un monde qui brûle, par Claire Stavaux. Performances de Joelle Sambi & Florian Sitbon !
  • 19/7/25 : Maison Jean Vilar, Avignon - 12h - Rencontre avec Milo Rau autour de sa pièce La Lettre et de son livre Vers un réalisme global.
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Minetti / Les apparences sont trompeuses / Déjeuner chez Wittgenstein / Simplement compliqué

L’Arche vous propose des Grands Formats pour traverser une œuvre dramatique en plusieurs tableaux.

Ce volume comprend : Minetti, Les apparences sont trompeuses, Déjeuner chez Wittgenstein et Simplement compliqué. Écrits au tournant des années 1980, ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu’entretenait l’auteur viennois avec la profession de comédien et l’art dramatique, un art entre mascarade et aliénation dans l’héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l’acteur cristallise la haine féroce que Bernhard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et des faux-semblants, métaphore de la société de l’époque et de la nation autrichienne tout entière.

La langue bernhardienne s’y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisinant la solitude et la folie. Le rire s’infiltre dans ces débords de la parole comme catalyseur d’une virulence hargneuse, toujours proche de la jubilation.

« l’humanité entière délire de pouvoirs / où que nous regardions / nous ne voyons qu’une humanité délirant de pouvoirs / nous sommes au cœur / d’un processus catastrophique de crétinisation »

Avec un prologue par Nicolas Bouchaud.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Minetti (Minetti, traduction Claude Porcell)
  • Les apparences sont trompeuses (Der Schein trügt, traduction Edith Darnaud)
  • Déjeuner chez Wittgenstein (Ritter, Dene, Voss, traduction Michel Nebenzahl)
  • Simplement compliqué (Einfach kompliziert, traduction Michel Nebenzahl)

(Premières parutions : Minetti en 1983, Les apparences sont trompeuses en 1985, Déjeuner chez Wittgenstein en 1989, Simplement compliqué en 1988)

L’Arche vous propose des Grands Formats pour traverser une œuvre dramatique en plusieurs tableaux.

Ce volume comprend : Minetti, Les apparences sont trompeuses, Déjeuner chez Wittgenstein et Simplement compliqué. Écrits au tournant des années 1980, ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu’entretenait l’auteur viennois avec la profession de comédien et l’art dramatique, un art entre mascarade et aliénation dans l’héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l’acteur cristallise la haine féroce que Bernhard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et des faux-semblants, métaphore de la société de l’époque et de la nation autrichienne tout entière.

La langue bernhardienne s’y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisinant la solitude et la folie. Le rire s’infiltre dans ces débords de la parole comme catalyseur d’une virulence hargneuse, toujours proche de la jubilation.

« l’humanité entière délire de pouvoirs / où que nous regardions / nous ne voyons qu’une humanité délirant de pouvoirs / nous sommes au cœur / d’un processus catastrophique de crétinisation »

Avec un prologue par Nicolas Bouchaud.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Minetti (Minetti, traduction Claude Porcell)
  • Les apparences sont trompeuses (Der Schein trügt, traduction Edith Darnaud)
  • Déjeuner chez Wittgenstein (Ritter, Dene, Voss, traduction Michel Nebenzahl)
  • Simplement compliqué (Einfach kompliziert, traduction Michel Nebenzahl)

(Premières parutions : Minetti en 1983, Les apparences sont trompeuses en 1985, Déjeuner chez Wittgenstein en 1989, Simplement compliqué en 1988)