Nous utilisons les cookies pour personnaliser le contenu et analyser notre trafic. Veuillez décider quel type de cookies vous êtes prêt à accepter.

Vinegar Tom

La pièce se déroule dans un petit village anglais, sur une période de quelques semaines.
Elle met en scène une série de femmes qui toutes, d’une manière ou d’une autre, incarnent ou représentent une situation de femme, et particulièrement de la marginalité en tant que femme. Le personnage central, Alice, élève seule un petit garçon sans père, tout en s’occupant de sa mère âgée Joan, veuve d’un mari violent. Toutes deux assez pauvres et avec peu de ressources, elles sont considérées comme des originales dans le village, et leur solitude sans hommes inspire à la fois l’envie et les commérages.
Le village se trouve perturbé par les rumeurs de chasse aux sorcières, qui viennent mettre des mots sur les désirs, les frustrations, l’envie et le désir de vengeance des uns et des autres. Le refus de la norme imposée aux femmes, peu importe sa forme – liberté sexuelle, vieillesse, magie blanche, refus de la grossesse, refus du mariage – se trouve rassemblé sous le vocable de sorcière et enclenche la machine de l’exclusion et de la violence.
(Ariane Issartel)

La pièce se déroule dans un petit village anglais, sur une période de quelques semaines.
Elle met en scène une série de femmes qui toutes, d’une manière ou d’une autre, incarnent ou représentent une situation de femme, et particulièrement de la marginalité en tant que femme. Le personnage central, Alice, élève seule un petit garçon sans père, tout en s’occupant de sa mère âgée Joan, veuve d’un mari violent. Toutes deux assez pauvres et avec peu de ressources, elles sont considérées comme des originales dans le village, et leur solitude sans hommes inspire à la fois l’envie et les commérages.
Le village se trouve perturbé par les rumeurs de chasse aux sorcières, qui viennent mettre des mots sur les désirs, les frustrations, l’envie et le désir de vengeance des uns et des autres. Le refus de la norme imposée aux femmes, peu importe sa forme – liberté sexuelle, vieillesse, magie blanche, refus de la grossesse, refus du mariage – se trouve rassemblé sous le vocable de sorcière et enclenche la machine de l’exclusion et de la violence.
(Ariane Issartel)