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Le cercle autour du soleil

(Der Kreis um die Sonne)

Le cercle autour du soleil parle d'une fête, d'une soirée chez quelqu'un. On est très à l’étroit, le couloir est plein, on boit, on danse, corps contre corps. Un homme jongle avec un plateau rempli de verres à travers la foule. Ce n'est qu'une question de temps avant que les verres ne tombent. Mais en attendant, on continue à danser, à rire, à flirter. Sans aucune distance. Quelque part, quelqu'un tousse. Un groupe d'avocats discute des droits de l'homme, de la vie, de la liberté et de la sécurité. Des bribes de conversation. Des instantanés d'une nuit d'ivresse au cours de laquelle une jeune femme tombe amoureuse de l’hôtesse. Mais cet amour n'a pas d'avenir. Car le virus ne peut déjà plus être arrêté.

Roland Schimmelpfennig décrit une danse scintillante, tout en douceur. Ivre, triste et pleine de poésie, le virus n’est que frôlé.
Une révérence nostalgique à la légèreté insouciante, devenue danse sur le volcan. Dans cette pièce, le plateau chancelant rempli de verres devient une métaphore de l'insouciance lourde de conséquences de l'instant présent. Un instant qui est trop séduisant pour que l'on puisse résister à la tentation. Tout en sachant que les verres vont tomber. Plus tôt ou plus tard.

La pièce a reçu l’aide à la création d’Artcena en 2022.

Le cercle autour du soleil parle d'une fête, d'une soirée chez quelqu'un. On est très à l’étroit, le couloir est plein, on boit, on danse, corps contre corps. Un homme jongle avec un plateau rempli de verres à travers la foule. Ce n'est qu'une question de temps avant que les verres ne tombent. Mais en attendant, on continue à danser, à rire, à flirter. Sans aucune distance. Quelque part, quelqu'un tousse. Un groupe d'avocats discute des droits de l'homme, de la vie, de la liberté et de la sécurité. Des bribes de conversation. Des instantanés d'une nuit d'ivresse au cours de laquelle une jeune femme tombe amoureuse de l’hôtesse. Mais cet amour n'a pas d'avenir. Car le virus ne peut déjà plus être arrêté.

Roland Schimmelpfennig décrit une danse scintillante, tout en douceur. Ivre, triste et pleine de poésie, le virus n’est que frôlé.
Une révérence nostalgique à la légèreté insouciante, devenue danse sur le volcan. Dans cette pièce, le plateau chancelant rempli de verres devient une métaphore de l'insouciance lourde de conséquences de l'instant présent. Un instant qui est trop séduisant pour que l'on puisse résister à la tentation. Tout en sachant que les verres vont tomber. Plus tôt ou plus tard.

La pièce a reçu l’aide à la création d’Artcena en 2022.