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La chute des comètes et des cosmonautes

Ce road-trip poétique de deux êtres à la dérive est une exploration de la chute de l’URSS et des idéologies politiques. Sa fable entrelace l’intime, l’exil et le voyage : une jeune astrophysicienne et son père prennent la route pour un Berlin-Moscou en voiture, l’une habitée par une déception sentimentale, l’autre hanté par un sentiment de déracinement profond. Tout au long du voyage, LUI et ELLE se querellent, s’affrontent comme deux systèmes en perte d’utopie. Sous la plume de Marina Skalova, les heurts de l’Histoire viennent s’inscrire en creux chez les individus, interrogeant la possibilité d’une action politique face à la déréliction contemporaine et la perte des valeurs collectives.

Des séquences dialoguées, souvent comiques, alternent avec des moments de décrochage. S’affranchissant par-là d’un réalisme trop formel, Marina Skalova crée des espaces de divagation, de plongée dans une intériorité profonde, des secousses quasi métaphysiques et ludiques à la fois – comme des trous d’air dans l’atmosphère.

« Je ne suis ni un porte-voix, ni un porte-drapeau. J'écris dans les limites de mon humanité, de ma subjectivité, avec mes ambivalences, mes contradictions, mes doutes. »

Ce road-trip poétique de deux êtres à la dérive est une exploration de la chute de l’URSS et des idéologies politiques. Sa fable entrelace l’intime, l’exil et le voyage : une jeune astrophysicienne et son père prennent la route pour un Berlin-Moscou en voiture, l’une habitée par une déception sentimentale, l’autre hanté par un sentiment de déracinement profond. Tout au long du voyage, LUI et ELLE se querellent, s’affrontent comme deux systèmes en perte d’utopie. Sous la plume de Marina Skalova, les heurts de l’Histoire viennent s’inscrire en creux chez les individus, interrogeant la possibilité d’une action politique face à la déréliction contemporaine et la perte des valeurs collectives.

Des séquences dialoguées, souvent comiques, alternent avec des moments de décrochage. S’affranchissant par-là d’un réalisme trop formel, Marina Skalova crée des espaces de divagation, de plongée dans une intériorité profonde, des secousses quasi métaphysiques et ludiques à la fois – comme des trous d’air dans l’atmosphère.

« Je ne suis ni un porte-voix, ni un porte-drapeau. J'écris dans les limites de mon humanité, de ma subjectivité, avec mes ambivalences, mes contradictions, mes doutes. »