• 25/04/23 : Lafayette Anticipations, Paris - 19h - Lancement de la nouvelle traduction de 4:48 Psychose de Sarah Kane par Vanasay Khamphommala, avec une lecture par Guslagie Malanda et une discussion entre la traductrice et l'éditrice du texte. - Gratuit sur réservation !
  • 03/05/24 : Librairie À la marge, Montreuil - Soirée de poésie queer avec Joëlle Sambi, Aurélie Olivier, Rim Battal, et bien d'autres !
  • 03/05/24 : Librairie Millepages, Vincennes - 19h30 - Remise de la mention spéciale du prix Millepages à Sonia Chiambretto pour son livre Peines mineures. - En savoir plus
  • 09/05/24 : Festival Aux 4 coins du mot, La Charité-sur-Loire - Rencontre avec Joëlle Sambi et Claire Stavaux autour de la collection "Des écrits pour la parole" à 18h30, suivie du spectacle Caillasses Live de Joëlle Sambi et Sara Machine à 23h. - En savoir plus
  • 02/06/24 : La Villette, Paris - Rencontre croisée avec Joëlle Sambi, Victor Malzac et Rim Battal dans le cadre du festival Mot pour mots. - En savoir plus
  • 20/06/24 : Librairie La Petite Egypte, Paris - Soirée musicale autour de L'opéra de quat'sous de Bertolt Brecht, avec Alexandre Pateau, traducteur, et Vincent Leterme, chef de chant à la Comédie-Française.
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Nicolás Gómez Dávilá

Né dans une famille colombienne aisée, il passe une partie de sa jeunesse à Paris. En raison d'une grave pneumonie, il suit les cours de précepteurs et se passionne pour la littérature classique. Un accident de polo lui brise plus tard les hanches. De retour en Colombie, il passe la plupart de son temps chez lui dans une énorme bibliothèque de plus de 30000 ouvrages. C'est dans les années cinquante que paraissent ses premières publications, dans lesquelles il conçoit un « mélange réactionnaire », déjà sous forme d'aphorismes, ne croyant pas que des systèmes plus ou moins clos, tels que les connaît la philosophie occidentale, peuvent rendre compte de la complexité du monde. Toute la question est de savoir si une pensée « réactionnaire » peut contribuer au débat intellectuel d'aujourd'hui. L'extrême susceptibilité du discours officiel, le refus instinctif et inconscient de tout ce qui n'est pas politiquement correct appelle, à notre avis, à un contre-mouvement d'idées. À moins qu'on ose penser que « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ».

Les livres de Nicolás Gómez Dávilá à L’Arche